Nous proposons à Matis des sujets d’expression écrite et de réflexion à partir de thèmes du voyage ou de thèmes évoqués par lui. Cela nous sert de point de départ pour « structurer » une pensée en « respectant » des règles d’écriture codifiée, ce qui n’est pas toujours le cas 😉 Si vous nous suivez régulièrement vous pouvez voir apparaître une ébauche d’article qui ensuite disparaît, c’est parce que nous pré-programmons des sujets pour nous « forcer » à nous poser pour écrire, réfléchir mais cela demande du temps, de la connexion et de la régularité ce que nous n’avons pas toujours pendant le voyage. Nous partons de données de Wikipédia que nous consultons souvent avec Romain et apprécions beaucoup. Je pense que le monde de demain aura besoin de jeunes qui cherchent à savoir, à connaître, à comprendre, à faire des liens, à débattre en étant attentifs aux sources qu’ils utilisent plutôt qu’à des apprentissages par cœur qui me semblent souvent vains et parfois vide de sens malgré la qualité du sujet de connaissance.
Donc nous proposons à Matis de lire, échanger, penser un sujet qu’il doit ensuite structurer( présentation, thèse, anti thèse, synthèse…oui bon presque!!)
Vidéo France TV sur le bouddhisme
(Début) Lecture et réflexions de Matis sur la bouddhisme:
Le bouddhisme est une religion mais aussi une philosophie sous d’autres point de vue. Le bouddhisme est apparu en Inde au 5e siècle avant Jésus-Christ à la suite de l’éveil de Siddhartha Gautama et de son anciennement.
En 2005 le bouddhisme compter entre deux 100 million et 500 million d’adeptes ce qui en fait la quatrième religion mondiale.
Odon Vallet mentionne que c’est la seule grande religion au monde a avoir régresser au 20e siècle, en raison notamment des persécution en Chine et en Indochine par les régime communiste.
Le bouddhisme comporte des pratiques éthiques méditative, des rituels religieux.
Le sujet étant complexe nous y revenons avec d’autres sources.
WIKIMINI semble plus aproprié:
Le bouddhisme est une philosophie originaire de l’Inde. Elle repose sur l’enseignement de Bouddha, qui s’intéressait à la vie, au bonheur et à la vérité. Le bouddhisme est une religion fondée par Siddharta Gautama. On appelle les fidèles du bouddhisme les bouddhistes. Cette religion est basée sur un calendrier lunaire, ce qui signifie que les célébrations ainsi que les jours suivent les différentes lunes.
Le bouddhisme est une philosophie du bonheur. Elle repose sur une pratique quotidienne de l’enseignement de Bouddha. Les bouddhistes (c’est-à-dire les fidèles du bouddhisme apprennent à voir la réalité comme elle est vraiment. Car les bouddhistes recherchent la vérité. Ils recherchent aussi le bonheur : comme ils veulent être heureux, ils apprennent à être justes et honnêtes.
Le lotus symbolise la sagesse du bouddhisme
La roue du dharma à huit branches représente les quatre nobles vérités et les huit marches.
Le moine : en tant que guide spirituel, il partage son enseignement avec les laïcs
Le maitre : il supervise la formation des moines
Le maitre accompli : bouddha en devenir, il aide les autres à s’éveiller
Le panchen-lama : il est le bras droit du dalaï-lama
Le dalaï-lama : il est le chef spirituel et politique des Tibétains
WIKIPEDIA
Le bouddhisme est une religion (notamment une religion d’État) ou, selon le point de vue occidental, une philosophie, voire les deux, dont les origines sont en Inde au ve siècle av. J.-C. à la suite de l’éveil de Siddhartha Gautama et de son enseignement.
Le bouddhisme comptait en 2005 entre 230 millions et 500 millions d’adeptes1, ce qui en fait la quatrième religion mondiale, derrière (dans l’ordre décroissant) le christianisme, l’islam et l’hindouisme. L’historien des religions Odon Vallet mentionne que c’est « la seule grande religion au monde à avoir régressé au xxe siècle », en raison, notamment, des persécutions du bouddhisme en Chine et en Indochine par les régimes communistes2.
Le bouddhisme présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l’éveil ». À l’instar du jaïnisme, le bouddhisme est à l’origine une tradition shramana, et non brahmanique comme l’est l’hindouisme.
Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateurn 1, la notion étant absente de la plupart des formes du bouddhismen 2, la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat joue un rôle important dans le Theravāda et également dans le Mahāyāna, dans lesquels il est un être éveillé ayant trois aspects ou manifestations (trikāya).
Les quatre nobles vérités indiquent ce qu’il est essentiel de savoir pour un bouddhiste. Elles énoncent le problème de l’existence, son diagnostic et le traitement jugé adéquat :
- La vérité de la souffrance (duhkha): toute vie implique la souffrance, l’insatisfaction ;
- la vérité de l’origine de la souffrance : elle repose dans la soif (tṛṣṇā): le désir, les attachements ;
- la vérité de la cessation de la souffrance : la fin de la souffrance est possible ;
- la vérité du chemin : le chemin menant à la fin de la souffrance est la voie médiane, qui suit le Noble Chemin octuple
Les trois caractéristiques ou marques de l’existence, trilakshana7 (du sanskrit : lakṣaṇa ; pali : lakkhaṇa ; « marque »8) sont :
- L’Anātman (absence de soi, impersonnalité) : il n’y a rien dans le monde qui ait une existence indépendante et réelle en soi, donc aucune âme (ātman), aucun soi, mais une simple agrégation de phénomènes conditionnés.
- L’Anitya (impermanence) : tout est constamment changeant dans les phénomènes, on ne peut absolument rien y trouver de permanent.
- Le Duḥkha (souffrance) : aucun phénomène ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive9.
Ces trois caractéristiques de l’existence conditionnée, qui se retrouvent également dans les quatre sceaux de la philosophie bouddhiste, sont universelles[réf. nécessaire], valides en tous temps et en tous lieux, et pourraient être reconnues par une vision directe de la réalité. Le nirvāṇa, n’étant pas conditionné, échappe aux caractéristiques de souffrance et d’impermanence (il est cependant impersonnel, il n’y a donc « personne » en nirvāṇa).